rien n'est parfait ci dessous, ce n'est qu'une façon de voir les choses, on attend vos critiques
On a un gymnase, des créneaux disponibles, pas de club de volley aux alentours
Cette information, de toute évidence, concerne l'élu et le salarié localement chargés du développement quantitatif au sein du CD concerné.
Cette information a été recherchée et obtenue.
Comme il s'agit d'une priorité nationale, les élus et salariés chargés du développement quantitatif au sein des CD, des ligues et de la FD travaillent tous en réseau national, et partagent toutes les informations, au sein d'une organisation spécifique restant à définir, de manière à optimiser une péréquation des faibles moyens en hommes disponibles, vers les déserts de la pratique fédérale du volley. Cette organisation, pilotée nationalement, est transparente (les critères de choix sont publics, définis, mesurables et vérifiables : pas de favoritisme).
Quoi faire de cette information ?
Compléter avec
- l'identification d'éléments moteurs mobilisables localement (on les a découverts lors de manifestations régionales ou locales : le chantier « recherche de pratiquants potentiels » inclut toutes les occasions médiatiques locales ou régionales)
- l'identification des pratiques susceptibles d'attirer les candidats du voisinage.
La première pratique est toujours : faire du volley une (mieux : deux) fois par semaine, sans compétition, niveau moyen – débutant, pratique santé.
En parallèle, le chantier « pédagogie pour débutants maladroits*» est mené de façon scientifique, en urgence, par tous les personnels compétents.
Contrairement aux idées si longtemps véhiculées dans beaucoup de clubs (-celui ci ne saura jamais jouer, réceptionner, …), tout débutant maladroit, s'il est motivé, peut apprendre assez rapidement (4 séances) à empêcher le ballon de tomber : et le jeu peut continuer ...
* maladroit est une réalité, non péjorative, évidente pour 19 personnes sur 20 ! et qui ont tous envie de jouer ... on parle de dizaines de milliers de candidats ... au moins ...
Cette pratique « santé » doit être la première préoccupation des responsables, et viser en priorité les mamans, puis les baby, puis les enfants et ado que l'on dirigera tranquillement vers des compétitions attractives pour eux (attention aux boucheries des plateaux régionaux!).
La seconde pratique est de l'amélioration et de la confrontation locale volley, organisée pour favoriser les rallyes (on cherche à éviter un score 25-10, mais plutôt 25-22, en équilibrant les équipes avec précaution. On crée et on maintient de cette façon un plaisir permanent de la pratique, qui regroupe plusieurs générations de joueuses et joueurs.
Ces joueuses et joueurs seront majoritairement des pratiquants vétérans (susceptibles d'attirer les jeunes de la famille), motivés pour faire les premiers tours du challenge de France vétérans.
La troisième pratique est la compétition départementale senior : aucune chance de voir rapidement des joueuses et joueurs confirmés quitter le cocon des compétitions Ufolep, FSGT, FSCF … à moins de créer de nouvelles compétitions attractives (ce que n'est plus le championnat D1).
La quatrième pratique est la compétition – regroupement des jeunes, y compris les baby.
Très délicate à organiser : il est indispensable d'éviter des confrontations déséquilibrées, et donc plutôt que les tranches d'âge, regrouper par niveau technique (défini par un panel de compétences techniques).
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