Ce que représente le sport n'est pas évident : tout être sain d'esprit a le devoir de s'interroger.
Le dopage, la triche, la fédérastie généralisée, le mépris pour les vaincus, ... sont inhérents à la compétition : on n'a pas le choix !
Mais au delà : l'ivresse aveugle des envolées enamourées pour les JO ... 2024, le fanatisme des supporters, l'agressivité assumée des confrontations, la joie malsaine de la victoire, ... , ne vont pas de soi.
Et c'est dans cette réflexion que nous trouvons justifiée notre préférence pour le volley, parmi les nombreux sports individuels ou collectifs que nous avons pu pratiquer, tous avec intensité et passion.
Pourquoi ?
Parce qu'une certaine pratique du volley, simplement grâce à ses règles et son système, peut amener le bonheur du partage et de l'oubli de soi, sans chipoter, sans juger, sans besoin de gagner.
Le volley est une des meilleures organisations d'une interaction sociale possible, gratuite, disponible : ne pas la gâcher nous semble un objectif fondamental.
Etudier les publications (une bonne douzaine d'ouvrages) de Fabien Ollier est un remède à la bêtise.
Nous lui soumettons la particularité de notre conception du volley, en espérant une mise en perspective qui nous encourage.
On peut se tromper.
On peut rêver.
http://rue89.nouvelobs.com/2011/11/08/philosophe-de-lanti-sport-court-ne-lit-plus-226334
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