pourquoi les administrateurs ont fait ce thème ?

Stop aux UGS....

Cela conduit dans la majorité des cas à la disparition de club et pourtant ce mot reste dans la bouche de la plus part de nos dirigeants. Il est parfois difficile de faire vivre (ou survivre) un club mais il est utopique de croire qu'il suffit de s'associer avec un autre pour que la vie redevienne rose.

Des solutions existent pour que les clubs travaillent ensemble comme le projet Zenith, cité avant mais aussi comme le groupement d'employeur (loire) où des entraîneurs n'appartiennent pas à un seul club.

REBONDIR ? ... analyse datant de 15 ans ...
Puisque rien ne marche*, il faut bien faire un pas de côté.
*sauf erreur, merci de corriger (succès étourdissant de Zénith ? …)
A-Capacité des clubs existants à accueillir de nouveaux licenciés
1. En posant à tous les clubs ce genre de question, on les oblige à y penser, à commencer leur projet de développement, à comprendre l’importance de la transparence (objectifs, motivations, vision à terme, renouvellement systématique des générations de dirigeants) pour une vie épanouie du club.
2. En réunissant les réponses, on va constater que les clubs obéissent à une typologie instructive.
1. Pas de réponse = pas de projet (sans doute au moins 90 % des clubs n'ont pas de fonctionnement de projet)
2. Réponses conditionnelles (créneaux horaires, moyens humains) = début d'un projet
3. Potentiel d'accueil défini = - de 1/4 des licenciés actuels, soit maximum avant saturation : +25 %
4. Conclusion : la croissance est principalement liée à la création de clubs, sur des sites de pratique où le volley est actuellement absent
B-Potentiel pour de nouveaux clubs
1. savoir reconnaître ce potentiel, cela s’apprend, s'étudie, se calcule, se décide
2. mener une politique pour susciter ces créations, cela demande toutes les compétences des comités et des ligues
3. c’est là que réside le réservoir de nouveaux licenciés
C-Rôle primordial des comités
1. il serait bon que les dirigeants ne se sentent plus dérangés par de nouveaux clubs, et les assistent de façon concrète
2. la priorité, ce sont toutes les formes de compétitions et de pratiques non compétitives locales
3. en évitant le cloisonnement et en favorisant les passerelles
4. en réunissant fréquemment toute la famille du volley départemental
D-« Grand club » et « Petit club » : un malaise
1. on sait que les « grands » clubs ont commencé leur ascension avec la disparition de toute « concurrence » locale
2. toute aide devrait s'adresser prioritairement aux « petits » clubs
3. alors quelle est la priorité ?
E-. Loisir et compétition
1. la compétition exigeante, agressive, sans convivialité, on l'aime de moins en moins au niveau des championnats départementaux
2. ceux qui ont pratiqué le haut niveau préfèrent jouer en affinitaire, même si dans certaines régions de grande densité de pratique, on retrouve l'esprit du &1
3. une pratique régulière du volley existe, répandue, demandée : va t'on continuer à se plaindre du volley « sauvage », hors fédérations ?

Cette lubie des UGS a commencé il y a au moins 15 ans : cela paraissait à ses promoteurs à la fd une façon de parvenir à créer du plus "haut niveau" localement / considéré comme synonyme de développement (quelle ânerie !!! ... supportée activement par toute la dtn !) / alors que la raréfaction des volleyeurs fd avait déjà commencé à inquiéter dans de nombreux cd -on avait pourtant encore 1800* clubs et sans doute 120 000* vrais licenciés : que dirait on aujourd'hui, où on avoue avec réticence 72000 licences ? / ci dessous notre diagnostic de l'époque, encore trop optimiste
*chiffres sans garantie : les manipulations de statistiques étaient déjà un sport très actif

4°) FUSION de 2 clubs = perte de 1/3 des effectifs

               attention aux UGS dont l’avenir est sinistre