Le nombre de salariés dans le volley-ball ?

On se rend compte que beaucoup de clubs sont en recherche d'entraîneurs (défrayés, bénévoles) ou de salariés.

Plusieurs interrogations :
- Combien d'éducateurs sportifs travaillent à ce jour pour le volley-ball ? Avons-nous des stats par départements, par régions, etc... ?
- Avons-nous des stats de salariés en pourcentage secrétariat, techniciens, communications, etc...
- Connaissons-nous les potentiels nouveaux postes qui seraient envisageable à l'avenir proche ?
- Les candidats sont-ils nombreux ?
- Les fiches de postes sont dans quelles dominantes ? Entraînement ? Développement ? Scolaire ? etc...
- Les mutualisations d'emploi sont-elles nombreuses ? (En gros, les clubs se parlent-ils ?)
- Les clubs connaissent-ils bien les différentes aides à l'emploi ?
Etc...

A vos avis, ressentis voire stats !

Pour la structure ou j'interviens...

- Région pauvre en entraîneurs salarié au niveau des clubs mais une ligue hautement dotée
- Officiellement pour 35h (50% d'entraînement)... mais rapporté sur l'année avec les nombre d'heures effectuée en plus, on passe à 40%

- Les clubs ne se parlent pas
Sur un appel pour monter un projet Zenith sur 5 clubs avec comme regard le fait que nous avons reçu 17 mutations jeunes des 4 clubs qui nous entourent. Seul 1 club nous a répondu, les autres club n'ont même pas pris la peine de répondre pour dire qu'ils n'étaient pas intéressé...
A la rentrée suivante, un des club renonce au championnat de R2 féminine car pas assez de fille et dans mon club, une vingtaine de cadette qui aurait pu renforcer l'effectif.

Les présidents de club dans leur majorité raisonnent pour eux et pas pour le volley, voilà pourquoi on va droit dans le mur...

Pour que les clubs échangent, et acceptent de mettre en commun des moyens et des effectifs, il faut qu'ils aient confiance dans leur propre survie, et qu'ils disposent d'effectifs importants.
On gère une pénurie d'effectifs partout : comment ne pas craindre sa propre disparition ?
Les mises en commun ne sont qu'un palliatif : avec 200 000 licenciés, ces problèmes ne se poseraient pas avec autant d'acuité.

Vigilance Volley a écrit:

Pour que les clubs échangent, et acceptent de mettre en commun des moyens et des effectifs, il faut qu'ils aient confiance dans leur propre survie, et qu'ils disposent d'effectifs importants.

Tout a fait mais étant auto-centré, ils ne voient même pas quand on vient les aider a survivre et ne se demandent pas pourquoi de cette manière, ils ne s'en sortent pas.... Cela s'appel un serpent qui se mort la queue