Faisons nous de nouveaux amis.
Depuis Boudry, force est de constater que l'inaction, l'abandon, et l'indifférence sont les aspects les plus visibles de l'activité des dirigeants de cette fd, sans aucune exception.
Il faut cependant préciser que ce n'était pas vraiment perceptible sur le moment : en échangeant avec eux, on pouvait avoir l'impression de personnes impliquées, à l'écoute, ouvertes, sympa, en un mot : « bénévoles » …
Alors qu'elle devrait être source d'innovation, de progrès, d'adaptation aux changements de la société, la technostructure de la fd, à l'image des élus, fuit en avant en espérant des miracles de l'edf masculine ...
Les déceptions interrogent d'abord ceux qui les ressentent.
Pourquoi a-t-on fait confiance ? Pourquoi n'a t'on rien anticipé ? Aurait on pu réagir plus tôt ? Quels sont les signes précurseurs à percevoir ?
Nous avons fini par comprendre (désolés : cela a pris du temps ! …).
Un premier mécanisme pervers a déjà été mis en évidence ici.
A partir d'une masse critique de fédérastes plutôt faible, mais bien placée, les passionnés démissionnent en rafale, et ne surnagent que les méduses, abandonnées lors des marées basses qui suivent chaque élection dans toutes les instances.
Le phénomène d'autoreproduction de l'espèce fait le reste.
Et donc la première responsabilité est celle des passionnés, qui se laissent écoeurer trop facilement par la médiocrité et la répétition des conflits, le sabotage systématique des innovations, la surdité des interlocuteurs – et cela commence dans les cd …
Ne démissionnez jamais !
Mais on a pourtant bien les dirigeants qu'on mérite, qu'on suscite, qu'on promeut !
Un second mécanisme est bien plus profond, il concerne la motivation personnelle des dirigeants de club.
Messieurs les présidents de club, pouvez vous oublier un instant les objectifs et les contraintes de votre club ?
Et réfléchir à la situation du volley fd ?